Fan de la première heure de Richard « Lord British » Garriott, on peut dire que Sergorn est le spécialiste de la série Ultima qui nous a toujours honoré de ses lumières sur tout ce qui concernait la série, de ses tests, ainsi qu’une foule d’information sur les studios de l’époque, tel que feu Origin Systems, Inc.
Le laisser écrire le test de Shroud of The Avatar, dernier titre de Richard Garriott, coulait de source. Je savais pourtant que c’était un cadeau empoisonné, sachant que ce jeu possédait des atouts certains, mais que son positionnement, à mi chemin entre un RPG solo et en ligne et son manque de finition à sa sortie en découlerait un test très ardu.
On relèvera aussi que les mises à jour régulières et les nombreuses améliorations mensuelles rendent tout article obsolète pratiquement dès sa publication (la mise à jour de juillet a non seulement amélioré grandement l’aspect visuel du titre, a supprimé des centaines de bugs, mais a aussi remanié l’interface et nombre de dialogues manquants).
Enfin, il faut ajouter que mettre de côté le coté affectif de la série pour décortiquer les atouts et les défauts d’un titre n’est pas du tout évident, mais Sergorn a réussi à le faire et s’il m’a avoué n’avoir jamais eu de test plus difficile à rédiger, il nous livre un premier bilan du jeu …que je qualifierai d’objectif.
Pour la lecture, c’est par ici.